Je rebondis –c’est le cas de le dire, tellement j’ai grossi 😉 sur une note de Fauvette, qui cite un billet d’Alain Rémond dans La Croix
Aucun doute : la fin du monde est proche. Le dérèglement climatique a enclenché un compte à rebours fatal, qui scelle notre destin. En voici le tout dernier signe : la fin des escargots. Autant dire la fin des haricots.
Je fréquente peu la Bourgogne, ou les Charentes, mais je suis souvent en Normandie où j’ai passé toutes les vacances de mon enfance. Et j’ai souvenir de ramassages d’escargots. J’en faisais des élevages, j’allais leur cueillir de la « salade » ou plutôt des feuilles et de l’herbe pour leur donner à manger, et les regardais progresser en laissant une trace de bave, –beurk !– avec fascination.
Je me souviens que ma mère et ma tante en préparaient, –c’était un travail de Romain– il fallait les faire dégorger à plusieurs reprises. Et moi, j’étais au désespoir de voir s’en alller à la casserole, mes animaux de compagnie.
C’est vrai qu’on n’en voit plus guère ! Moi qui photographie tout 😉 j’ai eu du mal à trouver un escargot dans mes photos. Des escargots par douzaines, mangés au restaurant, j’en ai ! Mais des escargots vivants, je n’en ai pas vu en Normandie depuis des lunes.
Vieux, c'est mieux!!! 
A un retour d’un de mes chantiers,en Alsace, j’en ai rapporté un plein sac à patates à la maison, et je les ai fait dégorger dans la baignoire. Ma femme a hurlé quand elle a dû la nettoyer. C’était le jour de la fête des mères. Et il n’y avait que moi, qui en mangeait à la maison.
Quand il pleut, il y en a plein mon jardin; donc, ne pas conclure trop vite.
Reviens me voir, Chère Claude, et je te montrerai les escargots GEANTS à l’Hermitage ! Mais en ce moment de pluie, il y a beaucoup de grosses limaces rouges aussi, beeeerk !
Merci pour le lien Claude !
Moi aussi j’ai beaucoup joué avec les escargots lorsque j’étais enfant !
Chez moi à Saint-Aignan les escargots sont de retour en 2007. C’est parce qu’il pleut, je crois. Ces dernières années on en voyait peu, sans doute à cause de la sécheresse. En ce moment Callie ramasse un escargot ou deux presque tous les jours et nous les apporte très gentiment.
Et oui, nous aussi on voit de ces grosses limaces rouge-orangé autour de chez nous, mais heureusement pas dans notre jardin potager… jusqu’à présent.
Contente de te retrouver Claude, ton blog avait en effet disparu … un peu comme les escargots ! Je n’en rafole pas et je ne participe donc pas à leur extinction, bien que je n’y crois pas trop car il y en a un sur ma terrasse qui mange mon basilic, en plus c’est un malin, je n’arrive pas à le trouver, même en suivant ses traces de bave ;))
Pour une fois un effet du réchauffement que je ne vois pas, avec la pluie de ces dernières semaines, mon jardin est rempli d’escargots qui mangent mes jolies plantes, AAAAAHHHHHH !!
Des escargots plein le jardin tout minuscule ( le jardin )….c’ est bien connu …il pleut tout le temps par ici !!!
Juste après avoir posté, j’ai entendu un reportage sur la question des escargots, sur France-Info. En fait, il semble qu’il y ait une grande différence entre les escargots sauvages, ceux qui envahissent vos jardins et les escargots que nous mangeons. Ceux-là, apparemment viennent des pays de l’Est. L’Europe des escargots en quelque sorte. Et d’après ce que j’ai compris, là-bas, il a fait très sec. Ceci dit, ça n’explique pas la note de Jean Rémond
nous sur Paris on voit énormément de limaces, de très grosses limaces ! :o( et les gamins en allant à l’école parfois s’amusaient à les compter !! et ça arrive qu’ils aient prélevé des bb limaces et qu’ils les nourrissent pour le plaisir de les voir grandir (et les relachent après quand ça cesse d’être « mignon » !) oui car ils trouvent « trop mignon » des bb limaces … ;o) beurrrk
Les escargots j’aime bien les regarder, les toucher mais les manger, ohhh non. Jamais 🙂
Chaque année nous avons beaucoup d’escargots et du vrai, gros bourgogne (et pour cause…). En principe le ramassage est interdit (et sa coute très cher à la douzaine si on se fait piquer) jusqu’au ler juillet pour cause de reproduction. Après une forte pluie il n’est pas rare de croiser quelques suicidaires qui traversent nos routes de campagne.